Vivant préconise l’abolition des vacances du DG et demande : « Oliver Paasch a-t-il trompé les électeurs ?

Ce vendredi 15 novembre 2024, la communauté germanophone célèbre sa journée de fête. De l’avis du groupe Vivant, la journée DG n’a aucun sens.

Michael Balter, Alain Mertes, Diana Stiel et Elena Peters préconisent donc de supprimer la fête sous sa forme actuelle ou de la déplacer un dimanche. Les « vacances » ne s’appliquent de toute façon qu’aux fonctionnaires de la DG, sans compter que la majorité de la DG n’a guère de raisons de se réjouir au début d’une longue période de mesures d’austérité, selon Vivant.

La faction Vivant (de gauche à droite) : Elena Peters, Alain Mertes, Michael Balter et Diana Stiel. Photo : Patrick von Staufenberg

« Les vacances représentent également un problème pratique pour de nombreux parents du secteur privé : alors que les employés de la DG et le personnel éducatif ont un jour de congé, les parents doivent organiser une autre garde pour leurs enfants qui manquent un autre jour d’école ce jour-là. « Il serait peut-être plus judicieux de programmer les célébrations de l’autonomie de la DG – alors que les hommes politiques doivent absolument se célébrer eux-mêmes – un dimanche, afin que tous ceux qui le souhaitent puissent y participer – sans coûts supplémentaires ni obstacles organisationnels », poursuit le communiqué de presse de la DG. quatre députés.

15 novembre 2019, Belgique, Bruxelles : Oliver Paasch, Premier ministre de la DG, prend la parole lors d’une réception pour la Journée DG 2019 à Bruxelles. Photo : Benoît Doppagne/BELGA/dpa

Vivant : « Avec un milliard de dettes et des paiements d’intérêts de 36 millions d’euros à venir pour la seule année à venir, de toute façon, presque personne n’aura envie de faire la fête. Selon Balter & Co., ce qui est particulièrement remarquable, c’est l’évolution rapide du paiement des intérêts : entre 2015 et 2019, ils se sont élevés à 7,6 millions d’euros ; Mais pour les années 2025 à 2029, 191,24 millions d’euros seront dus, soit 25 fois plus ! »

Vivant a en tout cas un soupçon : le groupe se demande si Paasch n’a pas induit les électeurs en erreur sur l’ampleur des mesures d’austérité. « Après des années de gaspillage », le gouvernement doit maintenant agir.

«Cependant, la situation financière tendue de la DG est en grande partie imputable à elle-même. Un milliard de dettes – cela aurait pu être évité. Au cours de la dernière législature, le gouvernement Paasch a perdu tout son élan. Des crises telles que la pandémie du coronavirus, les inondations catastrophiques et la guerre en Ukraine sont ensuite citées pour justifier la politique de la dette. Mais ces raisons sont en partie prétextuelles.

Le communiqué de presse de Vivant est disponible dans son intégralité au lien suivant :

COMMUNIQUÉ DE PRESSE-VIVANT-13/11/2024