Quelle est la pire erreur parentale que vous ayez jamais commise ?

Je n’ai appris l’existence des « time-in » que longtemps après avoir pleinement mis en œuvre le « time-out ».

Le parcours parental est le voyage le plus humiliant. Il n’y a rien de tel que d’essayer d’élever un enfant pour en faire un adulte compétent, compatissant et indépendant pour vous faire affronter toutes vos propres lacunes. Il ne faudra pas longtemps avant que nous fassions tout ce que nous avons dit nous ne le ferions jamais, même si les phrases agaçantes que nos parents nous disaient sortaient soudainement librement de notre propre bouche.

La route de ce voyage est pavée d’erreurs, grandes et petites, mais même le plus petit faux pas peut se transformer en une véritable connerie. Cédez à une crise de colère une fois, juste une fois-parce que vous êtes épuisé et que vous ne pouvez tout simplement pas les écouter crier une seconde de plus (votre corps bourdonne en fait !), et vous venez de vous rendre la vie encore plus difficile à chaque crise ultérieure. Toi peut être brisé – ils le voient maintenant.

Même si vous avez un partenaire avec qui vous êtes d’accord sur à peu près tout, vous vous retrouverez à vous demander s’il est acceptable de laisser votre enfant arrêter un sport après seulement un mois ; ou dans quelle mesure les répliques sont normales ou irrespectueuses et inacceptables ; ou s’ils sont encore trop jeunes pour avoir un smartphone. Souvent, vous ne savez pas quel chemin est le bon chemin jusqu’à ce que vous soyez si loin qu’il n’y a pas de retour en arrière, et soit vous soupirez de soulagement d’avoir choisi le bon, soit vous souhaitez ardemment une refonte.

Mais il y a aussi une profonde camaraderie dans le rôle parental : je vais faire des erreurs comme vous ne le ferez pas. Vous ferez des erreurs que je parviendrai à éviter. Nous pouvons apprendre les uns des autres, en particulier de ceux qui nous ont précédés, de ceux qui sont plus avancés et qui peuvent voir plus clairement leurs erreurs.

Je sais maintenant que mon fils aurait réagi beaucoup plus favorablement à une époque…dans-le style de parentalité, plutôt que les temps morts de type Supernanny sur lesquels nous avons choisi de nous appuyer. Je ne sais pas si c’est le pire erreur parentale que j’ai jamais commise (je suis sûr que mon fils pourrait proposer quelques prétendants), mais c’est peut-être celle que je regrette le plus, en grande partie à cause du temps qu’il a fallu avant que je corrige mon cours. Mais il est à l’aube de son 12e anniversaire maintenant, donc j’ai encore beaucoup d’erreurs devant moi.

Faites preuve de compassion avec moi : quelle est la pire erreur parentale (ou deux, ou 47) que vous ayez jamais commise ? Quels conseils donneriez-vous à un autre parent confronté à la même situation ou au même dilemme ? Quelles erreurs dois-je définitivement pas envie de faire à l’approche de l’adolescence ? Laissez un commentaire ci-dessous, et si nous obtenons suffisamment de conseils avisés, je les résumerai dans un prochain article de Vie Associative.