Le gouvernement de la DG se prépare avec les Öshz pour la réforme (controversée) des allocations de chômage, comme le prévoit la coalition « Arizona ». La nouvelle législation ne reste pas sans conséquences pour la DG et les municipalités. En outre, une conférence interministérielle du ministre des Plaies a eu lieu à Bruxelles début mai. L’innovation la plus importante est la limite de temps de chômage à deux ans à partir de janvier 2026.
« La réforme apportera des charges financières supplémentaires pour les municipalités, Öshz et la DG », souligne Jérôme Franssen (CSP), ministre de l’emploi de la DG. Franssen et le ministre des Affaires sociales Lydia Klinkenberg (ProDG) ont récemment rencontré des représentants de l’Öshz. Des questions spécifiques sur la mise en œuvre pratique de la réforme ont été discutées.
« Il est important pour les personnes dans des situations de vie précaires qu’elles peuvent compter sur la stabilité et l’orientation. La réforme de la prestation de chômage au niveau fédéral crée de nombreuses incertitudes. Le plus important est un échange étroit avec les centres de protection sociale », souligne Klinkenberg.

Une jeune femme créant un dossier d’application. Photo: Shutterstock
Le ministre du Travail Franssen a souligné la nécessité d’un flux d’informations efficace et basé sur les données entre les parties impliquées. C’est le seul moyen de garantir que les personnes en recherche d’emploi sont conseillées et soutenues tôt et ciblées.
Selon le Cabinet Fransen, la réforme prévue comprend essentiellement les innovations suivantes:
– Afin d’obtenir en droit de 2 ans complets de prestations de chômage, la personne doit avoir travaillé 5 ans auparavant.
– Pour qu’un droit reçoive un soutien au chômage, la personne doit avoir travaillé pendant au moins 1 an. Le droit à la prestation de chômage est prolongé de 1 mois par 4 mois qui ont été travaillés.
-Une exception est les enfants de plus de 50 ans qui reçoivent un droit à des allocations de chômage s’ils ont travaillé pendant 2 ans au cours des 3 dernières années. Ce droit doit être acquis encore et encore.
– Dans la première phase, les personnes qui ont travaillé plus de 55 ans et au moins 30 ans font exception. À partir de 2030, les gens doivent avoir travaillé pendant 35 ans.
– Après les 2 années des 2 années, les administrations de l’emploi font une offre finale aux personnes concernées, par la suite, le droit de support de chômage expire.
Lors de l’invitation du ministre fédéral de l’emploi, David Clarinval (MR), une réunion avec les ministres régionaux de l’emploi a eu lieu à Bruxelles début mai. L’objet de l’échange a été les principaux points clés de la réforme du marché du travail prévue au niveau fédéral, dont les adieux sont prévus dans la chambre pour juillet. En plus des représentants du Premier ministre et du ministre de l’intégration sociale, le ministre Pierre-Yves Jeholet (région de Wallonian), Bernard Clerfayt (Bruxelles) et Jérôme Franssen, ministre de l’Éducation, de l’Éducation et de l’emploi, ont participé à la réunion. Photo: armoire Franssen
– Le début de la réforme prévue est le 1er janvier 2026. À ce moment-là, toutes les personnes qui ont reçu des allocations de chômage pendant plus de 20 ans seront exclues de cela. Le 1er mars, les personnes qui ont reçu un soutien entre 8 et 20 ans seront exclues. Le 1er avril, les personnes qui ont reçu un taux de chômage entre 2 et 8 ans seront exclues. À partir du 1er juin, d’autres groupes restants seront publiés, comme les destinataires de l’allocation d’intégration professionnelle, les nouveaux chômeurs qui ont travaillé moins de 5 ans avant la réforme …
– Toutes les personnes qui commencent à s’entraîner dans une profession infirmière reçoivent une exception, ainsi que des personnes qui ont commencé à s’entraîner à une pénurie avant le 31 décembre 2025.
L’allocation de chômage est entièrement payée par l’État fédéral, de sorte qu’il n’y a pas de coût pour les communautés ou pour les régions. Si les personnes tombent de la netteté en chômage après deux ans et passent aux revenus d’intégration de l’ÖSHZ, une partie des coûts doit être supportée par les municipalités.
En cas de revenu d’intégration, l’État fédéral paie 55% (selon le nombre de bénéficiaires d’intégration de la municipalité), de sorte que la différence est au détriment de l’ÖSHZ, c’est-à-dire les communautés et les communautés.
Le ministre responsable a indiqué que la part de l’État fédéral pourrait augmenter au cours de la réforme. Un employé qui a travaillé pendant 10 ans a le droit de résilier une fois dans sa carrière et de recevoir des allocations de chômage pendant 6 mois. Cette période peut être élargie de 6 mois si l’employé suit un apprentissage dans une pénurie. (Cre)